Je ne sais pas si tous les trentenaires célibataires se prennent la tête comme ça aux jeux de l'amour et du hasard ou si c'est juste propre au prénom du personnage principal, mais j'ai beaucoup aimé cette impression de miroir...
Je n'avais pas supporté "l'auberge espagnole" qui m'avait semblé n'être qu'une succession d'histoires de cul...
Alors, que là, même s'il y a effectivement quelques longueurs et beaucoup d'histores de cul, j'ai trouvé qu'elles s'inscrivaient plus dans une cohérence, dans une recherche psychologique de la femme sinon parfaite, en tout cas ultime...
Bizarre de voir ses propres interrogations, ses propres réflexions, ses propres comportements sur grand écran...
Au final, j'en retiens une phrase : "Comment en alignant autant de moments de sincérité, peut-on en arriver à une telle misère ?"
Wendy est vraiment adorable, mais je n'aurait pas cracher sur Celia non plus...